Doit-on condamner le flirt

 

Telle est la question que ma copine ‘Diane’ m’a posé lors d’une conversation téléphonique.

Elle a rencontré un mec qui est dans la même université qu’elle, plutôt beau mec et assez sympa. Moi, tout content pour elle, je lui dis de foncer. Les mois passent mais rien n’arrive.

Jusqu’à ce fameux coup de téléphone en début de semaine où elle m’annonçait qu’ils avaient flirté.

Ce garçon, même s’il a une copine, ne peut s’empêcher d’être attirer par elle. Il lui propose de venir chez lui afin qu’il l’aide à réviser son espagnol. Elle accepte l’offre et s’en va le retrouver.

Ils s’installent dans la chambre et elle commence à travailler tout en discutant avec lui.

Soudain, ce dernier lance la première attaque de bisous dans le cou. Après avoir résister en vain, mon amie cède aux assauts. Mais rien de sexuel ne se passe. Il la raccompagne chez elle et lui dit qu’il ne regrette pas ce qui vient d’arriver.

Ces éléments en main, et après mûre réflexion, je lui assure que ce qui vient de se passer entre eux n’est pas condamnable, et qu’elle n’a pas à culpabiliser de cette situation, car malgré tout ce n’était qu’un simple petit flirt sans réelle conséquence.

Flirter n’a rien de culpabilisant en soi, et n’est en rien condamnable. Tant que les personnes concernées ne se sentent pas mal en sortant de cette situation, flirter avec une personne fait du bien même si cela n’est pas sérieux sur le coup, car après tout c’est en ne brusquant pas les choses que l’on en vient à connaître la personne et ensuite vouloir sortir avec.